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    Service de Presse : 

    Contacter <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="Marie-Laure RAYNAUD">Marie-Laure RAYNAUD</st1:PersonName>

    L'HARMATTAN - Service Littérature

    13, rue de l'Ecole-Polytechnique

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    « (...) Avec précaution, j'ai ouvert la première page puis, sans interruption aucune, j'ai lu jusqu'à la conclusion : « ... et je compris soudain le signe heureux des dieux... il était d'espérance... La France -un jour- pareil ! »

    J'ai vu se dérouler le film douloureux et tendre de la patrie charnelle. J'ai pu ressentir combien pour Jean-Luc, le terrien, « la forêt était son poumon », combien il avait besoin des orties et des ronces pour mêler Valmy à Jérusalem, Charlemagne à De Gaulle, le druide et la fleur de gui à Durandal...J'ai mesuré l'émotion éprouvée en évoquant « le panthéisme patriotique » d'Hélène, l'institutrice de la boue, du froid et des saisons des contrées austères. J'ai dégusté la mémoire oubliée dans ces quelques lignes : « J'observais ce monde qui me devenait familier avec un intérêt presque anormal : insectes, animaux sauvages... Je guettais cette vie comme le prolongement de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la mienne. Je">la mienne. Je</st1:PersonName> pouvais rester perché sur un arbre - au sommet de la colline - dominant le village, durant des heures. »

    J'ai retrouvé l'héritage Heideggérien : « Les chemins de terre ont de bien singuliers destins. Certains s'égarent vite dans les bois ou les hautes futaies...  Le promeneur distrait glissera vers la pente facile, pour s'étonner penaud d'avoir été perdu. »

    Jean-Luc nous rappelle que la nature n'est pas une chose posée seulement vouée à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la contemplation. C'est">la contemplation. C'est</st1:PersonName> dans la mesure où l'on aime le terre que l'on aime <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Terre. Comme Maître">la Terre. Comme Maître</st1:PersonName> Martin il couple « les chemins qui ne mènent nulle part » et « l'acheminement vers la parole » : « accepte de cheminer sur les sentiers passionnants de la pensée humaine ».

    Il faut se perdre, s'isoler hors des sentiers battus, se couper des apparences, des mondes factices, des spiritualités enivrantes pour se retrouver penseur en quête d'une réalité toujours dissimulée. Il faut fouiller, fureter, aller voir derrière, redécouvrir le sens sacré du savoir au hasard « d'une carte de géologie ou d'Histoire de la France de Vidal ».

    Je m'aperçois en écrivant que je vous parle d'une vertigineuse méditation poétique car si ce grand petit livre est une invitation à la philosophie politique, notamment à l'humanisme, l'ontologie ou l'aliénation, il nous transmet la fraîcheur de Pagnol et la profondeur d'Hölderlin. C'est la sa force surprenante et, je le crois, la source de sa durée. (...) »


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    Le Biterrois de naissance Jean-Luc Pujo vient d'écrire "De <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>", une trilogie politique<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

     

    Comment se déroule cette trilogie ?

    Tout d'abord, il s'agit d'un roman politique, le genre a pratiquement disparu. Le premier tome s'intitule Les chemins de terre et sort ce mois-ci. J'y traite du corps de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> avec un aspect narratif et un projet intellectuel dans le but de réfléchir sur l'idée France. Le second tome, que je dois encore écrire, demandera ce qu'est devenue la capitale. Quant au troisième, encore en projet, il doit traiter des résistances en tout genre. La trilogie sera achevée vers 2012 je pense.

    Ce livre semble être un ouvrage patriotique...

    Avant tout, il s'agit d'un livre politique. Le récit, en partie autobiographique, se veut un "véritable hymne à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>", comme je l'écris en quatrième de couverture. Certains disent aussi que c'est un livre national, il faut faire attention avec ce terme qui est assez connoté je trouve.

    D'où vos pensées politiques viennent-elles ?

    Dans le second tome, j'évoque mon grand-père, Germain, syndicaliste engagé dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←sistance. Conseiller">la Résistance. Conseiller</st1:PersonName> municipal de Béziers, il rêvait d'être député, il a même été candidat suppléant. Aujourd'hui, une salle de la bourse du travail de Béziers porte son nom. Je me souviens aussi du début des années 80 et la montée du Front National. Quel effroi. Je n'étais pas dans un milieu gauchiste mais quand je voyais des enfants des élites locales et que je côtoyais se réjouir de son score...

    Politiquement, vous vous sentez patriote de gauche...

    Je me sens surtout gaulliste, mais de gauche. Je souhaiterais tenter un remariage entre le socialisme et <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Nation.">la Nation.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Nation."></st1:PersonName>Aujourd'hui, le gaullisme est fini, il n'est plus au pouvoir, il a disparu de la gauche mais aussi de la droite. Le seul qui le suive encore est Jean-Pierre Chevènement et son parti, le Mouvement républicain et citoyen, que je soutiens.

    Comment le fait de soutenir <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Nation">la Nation</st1:PersonName> est-il compatible avec la construction européenne ?

    C'est difficile car on construit l'Europe selon une logique économique et financière dans le but de défaire la Nation. Selon moi, l'Europe se construit mal. Pour l'instant, on va vers une Europe fédérale comme les Lander en Allemagne. On bâtit sur la base de l'économie mais n'oublions pas qu'il y a une réalité humaine, une notion politique à ne pas nier. Ce processus n'est pas fiable.

    Et si on nie <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Nation">la Nation</st1:PersonName>, que se passe-t-il ? C'est très grave. Une union continentale sans Nation risque de transformer l'Europe en poudrière balkanique.

    Comment ça ? En France, avec cet avenir européen, les risques d'affirmations identitaires régionalistes existent, pour les Bretonspar exemple. Rappelons que le régime de Vichy a encouragé les écoles bretonnes, le rapport avec l'extrême droite est certain. Avec l'Europe, beaucoup de régions voudront être autonomes.

     

    Propos recueillis par Jean-Philippe JUAN

     

     

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    « De <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France Les">la France Les</st1:PersonName> chemins de terre » de Jean-Luc Pujo

     

    Derrière la poésie, les scènes bucoliques et les paysages ariégeois, Jean-Luc Pujo se livre à une réflexion étonnante sur la mondialisation, les défis écologiques, l'émancipation des femmes, le partage des richesses ou l'éducation...

    Presque à contre-courant de la pensée dominante, ce premier roman politique s'inscrit dans une série «De <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>» où l'auteur abordera dans «Les Allées du Luxembourg», l'analyse de la tête-capitale, Paris.

    Véritable hymne à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, ce livre ne peut laisser insensible au talent de son jeune auteur qui s'inscrit dans les pas de Charles Péguy et Auguste Comte pour lesquels il avoue sa plus profonde admiration.

     

    http://www.ariegenews.com/news/news-5931.html


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    « L'éducation nationale et la politique sacrificielle »

     

    En août dernier, un tremblement de terre a fait changer en quelques heures de configuration politique à la planète des sacrifices. Depuis 1945, la lente ascension de l'Amérique du Sud, de l'Afrique, de l'Inde et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:PersonName> avaient été masquées par la guerre froide, puis par l'effondrement de l'empire soviétique, ce qui avait donné l'illusion que l'heure de diriger la planète des immolations avait sonné pour les Etats-Unis d'Amérique. La continuation de la vassalisation de l'Europe sous le joug de l'OTAN ultérieurement à la chute du mur de Berlin et à l'extinction de l'utopie marxiste avait paru confirmer cette fatalité de l'histoire théopolitique du monde. Puis, la résurrection de la nation russe et l'échec de l'encerclement de son territoire par les garnisons de prêtres du Nouveau Monde portant le heaume et le cimier d'une Europe vassalisée et dupée ont conduit à un bouleversement du rapport des forces qui a pris de court une Europe résignée, semblait-il, à demeurer placée, de génération en génération et à titre statutaire sous le sceptre sacerdotal d'un général américain.

    Aussi la question la plus décisive qui se pose désormais à l'Europe est-elle de savoir si les Ministères de l'éducation nationale du Vieux Monde donneront à la jeunesse une instruction publique en mesure d'endiguer l'assujettissement de la civilisation de la liberté aux ambitions d'une puissance étrangère. Comme les manuels scolaires actuels enseignent d'ores et déjà que l'Europe demeurera placée à titre constitutionnel sous le contrôle politique du Nouveau Monde - et cela en temps de paix comme en temps de guerre - tout le corps enseignant se rendrait complice de l'asservissement, pour un siècle entier et sans doute au delà de l'asservissement du fleuron de l'humanité aux intérêts politiques et militaires d'un autre Continent s'il en venait à légitimer dès les bancs de l'école une décapitation de l'Europe définitivement entérinée par les traités internationaux secrètement conclus ou comportant des clauses occultées entre l'Amérique et les Etats du Vieux Continent.

    Au début du XXe siècle, il existait un Code Soleil dans lequel on pouvait lire : "Morale professionnelle de l'instituteur : c'est un coin de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> qui vous est confié. Vous allez en être l'éducateur, le moralisateur, le philosophe. De ces enfants, il vous appartient de faire des hommes. [...] Vous verrez luire dans leurs yeux le reflet d'une âme toute neuve, argile que vous pétrirez de vos mains et dont vous ferez des consciences. Sachez vous en faire aimer, vous découvrirez leur cœur. [...] Le métier d'instituteur [...] est un apostolat en ce sens qu'il tend à former des disciples d'un idéal moral." (Cité par Jean-Luc Pujo, De <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, Les chemins de terre, L'Harmattan, 2008, p.102)

     

    Ce qui frappe dans cette noblesse, c'est l'absence de tout regard de l'Etat sur la politique et sur l'Histoire.

     

    Lire la suite :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/defis_europe/education.htm

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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  • "De la France, Les chemins de terre" de Jluc Pujo
    Vidéo envoyée par jlpujo

    "De la France, Les chemins de terre" de Jluc Pujo édition L'HARMATTAN - septembre 2008. Roman politique - 1er tome de la trilogie " dela France" consacrée à l'actualité de l'Idée et du projet France dans la Mondialisation. "Oui, la France est une Idée moderne!"


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    « De <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> - Les chemins de terre » Jean-Luc PUJO

     

    « L'auteur entreprend un véritable pèlerinage où le devenir de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> est au centre de ses pensées. Nous vivrons avec lui plusieurs de ses rencontres qui l'amèneront vers des questions essentielles : la fin de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> , la mondialisation, le partage des richesses, l'écologie, l'éducation, pour finir avec l'alter mondialisme.

    Ce roman, admirablement écrit, se lit en trois heures et vous piques au vif. Ses descriptions très détaillées vous permettent d'être acteur des différentes scènes narrées.

    Ce livre, véritable hymne à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, se veut hors des sentiers battus de la pensée unique ; personne n'est épargné, ni le capitalisme ni l'Etat, pas même les altermondialistes. Le narrateur ira jusqu'à évoquer la philosophie d'Auguste Comte sur « la religion de l'humanité ».

    D'accord ou pas d'accord, ce livre ne vous laissera de toute façon pas insensible et vous vous surprendrez à vous poser à votre tour la question : « Et <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> dans tout ça ? ».

     


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  • La 4ème de couverture :

    « Et la France, dans tout ça ? (...) Mais la France,  ça n'existe plus ! (...) Alors la France, ça pourrait ainsi se terminer ? (...) Mais qui donc a intérêt à voir disparaître la France ? (...) Alors que la France a donné à l'Humanité tant de signes précurseurs d'une grandeur à naître ? (...) Et,  tout à coup,  la source aurait tari ?».

    Véritable hymne à la France, Les chemins de terre nous plonge dans les sentiers magnifiques des Pyrénées, où Hélène - institutrice en sabots - entreprend chaque jour de rejoindre son école pour enseigner la France à ses petits paysans.  La nature s'offre alors en déclinaisons poétiques et littéraires, comme un hymne à la culture française.

    Le narrateur peut alors convoquer ses propres souvenirs, quand lui-même - enfant - découvrait en secret, au cours de longs étés, la bibliothèque de l'école communale abandonnée.

    En promeneur solitaire, comme le célèbre Jean-Jacques, le narrateur entreprend ainsi un véritable pèlerinage.

    Plusieurs rencontres vont l'amener à décliner les questions essentielles de notre temps : la fin de la France , la mondialisation, le partage des richesses, l'écologie, l'éducation, le renouveau religieux et spirituel... pour découvrir que la France a fourni - sur tous ces sujets et depuis des siècles - plusieurs pensées parmi les plus abouties. Et tout naturellement, quand un hippie alter-mondialiste s'exclame : « La France ? Mais ça n'existe plus ! », le vieux maire ainsi que le promeneur peuvent répondre en cœur par une magnifique démonstration.

    Par ce premier roman politique, Jean-Luc Pujo nous offre un hymne à la puissance de la pensée française comme une critique décapante de la pensée dominante. Ce roman s'inscrit dans une série De la France. Après le corps - Les chemins de terre -  l'auteur abordera dans Les allées du Luxembourg, l'analyse de la tête-capitale, Paris. Rejetant toute lecture maurassienne, l'auteur inscrit sa lecture française dans la fidélité à Charles Péguy et Auguste Comte pour lesquels il avoue sa plus profonde admiration.


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    Admirateur d'Henri de Montherlant, Gide, Paul Morand mais aussi Saint-Exupéry, Giono et Delteil, Jean-Luc Pujo est également grand lecteur de poésie française, fin connaisseur de Paul Valéry.

    Fonctionnaire français encore récemment en poste au Ministère des Affaires Etrangères, passionné par la diplomatie et les relations internationales, il milite au sein « de cette gauche qui aime <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> » et ne cache pas son admiration pour de Gaulle, Jean Moulin et Jean Jaurès. Il préside actuellement le réseau national des Clubs « Penser <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> » et a déjà publié de nombreux articles politiques, notamment au sein des réseaux chevènementistes. Né à Béziers en 1965, il vit aujourd'hui à Paris.


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